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 FELINE ◮ Pour être le meilleur, il faut battre le meilleur.

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MessageSujet: FELINE ◮ Pour être le meilleur, il faut battre le meilleur.    FELINE ◮ Pour être le meilleur, il faut battre le meilleur.  Icon_minitimeJeu 23 Fév - 0:27


« FELINE I. CARTER-LLYOD »



« Rumour has it »

NOM ▬ Carter-Llyod . PRÉNOMS ▬ Féline Iyana . AGE ▬ 20 ans . DATE DE NAISSANCE ▬ 02 janvier 1992 . LIEU DE NAISSANCE ▬ Wichita . ORIGINE ▬ Américaine . STATUT ▬ Célibataire . ORIENTATION SEXUELLE ▬ Hétérosexuelle . STATUT FINANCIER ▬ Riche . MÉTIER ▬ Résidente pour devenir titulaire en chirurgie plastique . GROUPE ▬ Je grandis . MALADIE ▬ (pour les patients) . TU AIMES ▬ Mon métier . TU N'AIMES PAS ▬ Recevoir des ordres . AVATAR ▬ Dianna Agron .


« Donne-moi un peu de toi »

SOURIANTE ▬ TROP SURE D'ELLE ▬ ATTACHANTE ▬ IMPULSIVE ▬ FORTE ▬ TÊTUE ▬ SOCIABLE ▬ PRÉTENTIEUSE ▬ MALIGNE ▬ CARACTÉRIELLE ▬ A L’ÉCOUTE ▬ RANCUNIÈRE

Féline a grandi à l'hôpital car ses parents était tous les deux chirurgiens ▬ Elle ne baisse pas les bras et est prête à tout pour arriver à ses fins ▬ Féline fait croire à tout le monde qu'elle a un coeur de pierre pour se protéger, elle ne s'attache jamais à ses patients par peur qu'ils lui soient enlevés ▬ Elle respire la joie de vivre, sait remonter le moral en un simple regard ▬ Il vaut mieux ne pas croiser son chemin quand elle est énervée car qu'elle n'en fait qu'à sa tête
PSEUDO ▬ HerSunshine. . PRÉNOM ▬ Charlyne . AGE ▬ 16 ans . PAYS ▬ Los Angeles (Amérique) ou en France Arrow . FRÉQUENCE DE CONNEXION ▬ Un peu tous les jours . DOUBLE-COMPTE ? ▬ Non . COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? ▬ En tappant "le meilleur rpg de tous les temps" sur google Wink . UN COMMENTAIRE ? ▬ JE VOUS AIMES MES PETITES TETES DE GLANDS FELINE ◮ Pour être le meilleur, il faut battre le meilleur.  1984686818 FELINE ◮ Pour être le meilleur, il faut battre le meilleur.  2286278161 FELINE ◮ Pour être le meilleur, il faut battre le meilleur.  3338944726 . CODE DU RÈGLEMENT ▬ ok par un schtroumpf à grandes dents . CRÉDIT ▬ Tumblr partout .
Ⓒ Crédit de la fiche : HerSunshine.

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MessageSujet: Re: FELINE ◮ Pour être le meilleur, il faut battre le meilleur.    FELINE ◮ Pour être le meilleur, il faut battre le meilleur.  Icon_minitimeJeu 23 Fév - 0:31




« I want to go, go without a map »

Guilty Pleasure Hospital. Ce n’est pas simplement un hôpital parmi tant d’autres, un bâtiment qui accueille les malades et fait en sorte qu’ils en ressortent intacts, en pleine forme. Non, GP c’est toute ma vie, du début à aujourd’hui et pour de très longues années encore. La première fois que j’y mis les pieds fut le jour de ma conception. Mes parents étaient tous deux chirurgiens, mon père dans la plastique et ma mère dans le neurologique et, c’est entre deux opérations qu’ils eurent la bonne idée de me créer dans…L’ascenseur ! Ces titulaires je vous jure, ils n’en font vraiment qu’à leur tête. Bref, ma mère ne s’arrêta pas de travailler pour autant, bien que les interventions devenaient de plus en plus rares et, même si un enfant n’était pas prévu dans le programme, les parents décidèrent de me garder. Je vis le jour à Guilty Pleasure neuf mois plus tard, sous les yeux émerveillés de tout l’hôpital, des amis de mes parents, de leur seconde famille en quelque sorte. Je prononçais mes premiers mots là-bas, je faisais mes premiers pas, mes premières conneries, j’y vivais en quelques sortes. D’ailleurs, quand je n’étais encore qu’une enfant, j’avais demandé à mon père si c’était notre maison. Je me souviendrais toujours de sa réponse… « Non mon ange mais, si un jour tu as le besoin, tu pourras toujours compter sur eux. » Ces deux jeunes gens étaient médecins avant d’être parents et, leur priorité ne changea point avec mon arrivée. Ça ne me posait pas de problème à l’époque, j’étais trop jeune pour comprendre quoi que ce soit donc, je faisais avec et j’écoutais ce que mes parents me demandaient… Quelques fois. « Bon ma chérie, tu attends là, tu ne bouges pas, papa viendra te chercher dans pas longtemps. » J’hochais la tête de haut en bas, assise sur un lit de l’hôpital dans une petite salle à l’abri des patients, tout en fixant ma mère qui s’était baissée à ma hauteur. Au fond de moi, je savais qu’elle détestait me laisser seule or, ce n’était pas la première fois, ni la dernière, elle devait aller travailler pour ne pas se faire virer. J’affichais un sourire angélique de petite fille modèle tout en laissant mes jambes se balancer d’avant en arrière. « D’accord maman. » Je la laissais tourner les talons et faire quelques pas dans le couloir principal avant de sauter du haut du lit et de me promener dans le bâtiment. Je le connaissais aussi bien que ma poche. Les moindres recoins, les meilleures cachettes pour jouer à cache-cache, les services dont l’accès m’étaient interdits… Je savais tout sur tout le monde en plus de cela. Après quelques minutes de marche, je me retrouvais dans le service pédiatrie à regarder des films avec les enfants malades. Une habitude que j’avais pris et qui ne me quitta pas avec l’âge.




« I want to go, go without a map »

Je grandis et il était temps pour moi d’aller à l’école comme les enfants de mon âge. Il était temps de tourner la page sur tout ce que j’avais pu vivre jusqu’à présent. Je côtoyais la mort depuis que j’étais gosse. Je voyais mes amis perdre vie à l’hôpital, alors que d’autres finissaient par rentrer chez eux après un torrent de larmes. Les parents versaient des larmes de joie, contents que leur enfant s’en sorte une bonne fois pour toute, alors que ces bouts de choux pleuraient leur départ, la séparation avec les autres jeunes qui étaient devenus leurs amis avec le temps. S’il y avait bien quelque chose que j’avais appris en grandissant à Guilty Pleasure, c’était le fait de contrôler mes émotions. Je comptais bien travailler ici plus tard, tout comme l’avait fait mes parents et pour cela, il fallait que je prenne sur moi, que je sois forte et intouchable dans n’importe quelle situation. Cette assurance, je l’appris au fils du temps et se fut plus simple que ce je m’étais imaginée. « Féline merde, combien de fois je t’ai dit que c’était pas un endroit pour bosser ici ?! » Ce grand monsieur qui faisait peur à première vue à cause de son air autoritaire n’était autre que mon oncle, Mason Llyod. C’était également mon tuteur suite à la mort de mes parents quelques années plus tôt. Je détestais en parler puisque c’était le seul truc qui me touchait réellement, ce pourquoi j’avais encore un cœur. Comment cela c’était-il produit ? Un accident d’avion alors que mes parents s’apprêtaient à fêter leur cinquième anniversaire de mariage. Je crois que c’était la seule fois qu’ils s’accordaient un moment à eux, hors de l’hôpital. J’étais heureuse pour eux mais, quand j’appris la nouvelle, c’est comme si mon monde s’écroulait. J’avais fait une petite dépression suite à cette perte. J’avais cessé de me nourrir, cessé de parler et, mon oncle avait finalement eu la bonne idée de me coller H24 pour que je change tout cela. Ce n’était pas dur puisqu’il travaillait à l’hôpital également, titulaire en chirurgie plastique, si ce n’était pas le petit frère de son frère celui-là /sbaff/ Je l’admirais tout comme mes parents. Il n’avait jamais été prêt à accueillir un enfant dans sa vie, il aurait très bien pu continuer sa route et me confier à une famille d’accueil or, il ne le fit pas. Il était ma seule et unique famille avant l’arrivée de mon demi-frère, le fils caché de ma mère. C’est difficile de se dire que sa mère menait une autre vie avant de venir s’installer à Wichita. Elle avait tout quitté pour venir s’installer dans la ville de mon père, tout même son propre fils alors qu’il n’avait rien demandé à personne. Lui aussi admirait maman malgré le fait qu’elle l’ait abandonné. Quand il avait découvert mon existence, il était venu vivre à Wichita aussi et avait repris ces études pour être chirurgien alors que je commençais seulement les miennes. Même caractère merdique, même passion, même si je me disputais souvent avec, il était mon modèle. Bien sûr, il faut que cela reste secret. Bref, je commençais seulement mes études comme je vous le disais et, j’avais tendance et prendre GP comme un squat et non pour sa fonction première. « Oh on se calme m’sieur Lloyd, je viens de me faire virer de la salle de réunion… C’est une morgue ici, qui est-ce que tu veux que j’embête ? » Oui, je faisais mes devoirs à l’hôpital et alors ? Mon oncle avait un pauvre petit appartement poussiéreux en ville, qui n’était occupé que quand celui-ci décidait de rentrer chez lui. Je n’avais aucune idée de me retrouver seule là-bas à m’ennuyer, il fallait que je vois du monde ! Et puis, il y avait les enfants, qu’est-ce qu’ils allaient faire si je n’étais pas présente à la représentation du soir ? J’avais beau avoir 15 ans, ça ne m’empêchait pas de passer du temps avec eux des que je le pouvais.




« I want to go, go without a map »

C’est après le lycée que j’entrais directement à l’école de médecine puis, en internat. Ce fut plutôt simple pour moi grâce aux nombreuses connaissances que j’avais là-bas. C’était ma famille mais maintenant, je faisais vraiment partie de l’équipe. Mon frère, Julian, venait d’avoir une promotion. Il était à cette époque résident et donc, je lui léchais les bottes pour obtenir les meilleurs coups. Tout d’abord, il fallait se montrer exigeante, sûre de soi, fin prête tout en respectant la hiérarchie. Dans le cas présent, je trichais toujours un peu parce que c’était mon frère et qu’il pouvait bien faire ça pour sa petite sœur adorée. « Je veux cette intervention. » Je croisais les bras et ne lâchais pas son regard une seule seconde pour lui montrer que j’étais déterminée et que je ne lâcherais pas l’affaire. « Féline… » Commença-t-il en soupirant face à mon nouveau caprice. Quand il commençait ses phrases ainsi, quand il hésitait dès le premier mot, c’était perdu d’avance. Il fallait que j’en rajoute une couche telle une petite manipulatrice qui ne pensait qu’à elle. C’était chacun pour soi dans un hôpital, pour s’améliorer, pour obtenir les meilleures interventions, il fallait se battre et ce même en usant des coups les trop tordus. « Je suis ta sœur je te rappelle ! » Après tout, je pouvais toujours coucher avec un supérieur quand il le fallait or là, il était question de mon grand frère du coup, il fallait que je mise sur l’affection, que j’utilise ses sentiments. J’étais une garce ! Et alors ? Il tenait à cette opération, j’en avais jamais fait une seule et, je savais parfaitement qu’il était possible que j’en fasse une aujourd’hui. Mettre toutes les chances de son côté. La seule et unique règle qu’il y avait pour moi. Ne pas coucher avec mes patients ! Le reste, je n’en avais complètement rien à faire. « Et alors ? Il n’est pas question de famille ici, rentre toi ça dans le crâne ! » C’était sûre, il était vraiment sadique. A quoi ça sert d’avoir de la famille dans la hiérarchie si on ne peut pas en abuser de temps en temps ? Que fallait-il que je fasse pour avoir ce que je voulais ? J’haussais alors la voix tout en changeant de ton : « Mais merde, tu sais que je peux le faire, je suis l’une des meilleures internes… Julian ! » Voilà ce qu’il fallait faire. Une gentille crise en plein milieu du couloir principal, quand tous les regards sont braqués sur vous et là, il faut bien calmer le jeu non ? La seule chose qu’il y avait à faire ? Caler. C’est ce qu’il fit. Ce jour-là, je réalisais ma première chirurgie en solo et une place assurée au sein des résistants. Faire ses preuves, réussir, entrainer dans la cours des grands. Ce que j’adore dans ce métier, c’est qu’en plus d’être diversité, animé, on pouvait toujours s’améliorer et une jour rentrer dans la cours des plus grands. « Félicitations, tu as réussi ta première intervention en solo p’tite sœur ! » Je pouvais maintenant arpenter les services la tête haute, fière de ma première réussite. J’avais sauvé une vie, ce n’était pas rien. A chaque fois cela me redonner confiance, j’étais heureuse et sur un petit nuage jusqu’à me reconcentrer sur un autre patient. Je répondis alors d’un air supérieur, contente qu’il m’ait finalement fait confiance : « Mademoiselle Llyod s’il te plait, il n’est pas question de famille ici. » Voilà comment se présentait notre relation. Toujours en train de se chercher, de se provoquer jusqu’à ce que l’un d’autre nous baisse les bras et donne raison à l’autre.




« I want to go, go without a map »

J’avais tout ce que je souhaitais. Un métier formidable, une famille parfaite bien que des compétitions se ressentaient entre nous et pour finir, tout le fric dont je pouvais avoir besoin. Etant donné que je vivais en colocation avec mon charmant frère puisque nous étions que très rarement à l’appartement, tout mon argent passait dans les investissements de Guilty Pleasure. Je finançais pas mal de projets, faisais des dons à l’hôpital ou j’achetais des choses pour les enfants. Malheureusement, il m’en fallait toujours plus et j’étais prête à trop pour cela. « Oh ! » Alors que je marchais tranquillement dans les couloirs, quelqu’un vint à me tirer le bras et m’emmener dans un placard inutilisé. A l’abri des regards indiscrets, je vis seulement à qui j’avais à faire et, c’est en fronçant les sourcils énervée que je demandais tout naturellement : « Putain mais t’es malade ! Qu’est-ce que tu fous ici ? » Bon, pour tout vous dire, tout cet argent que je possédais ne dépendait pas que de mes horaires de pratique mais également de ce foutu trafic de médicaments dans lequel je m’étais laissée embarquer. Au début, c’était juste un moyen de payer mes études or la suite, je m’étais trouvée de nombreuses excuses pour continuer. Une fois lancée, c’est comme la drogue, on ne peut plus s’en dépêtrer. Cela faisait quelques jours que j’avais décidé d’arrêter et ce jeune homme, qui était sans aucun doute mon meilleur client, n’avait pas été prévenu de ce changement précipité. « J’ai besoin de ma dose. » Des accros. Je soupirais de nouveau en regardant par la petite fenêtre. Il n’avait rien à faire ici, le trafic c’était à extérieur de l’établissement, c’était le deal. J’avais passé un contrat, je ne pouvais pas m’arrêter du jour au lendemain. « Casse-toi avant que je me fasse virer. » Inégale, dangereux. J’adorais l’aventure, prendre des risques or dans ce cas précis, c’était ma place qui était en jeu, mon job, ma passion. Je n’avais pas le droit à l’erreur sinon ma vie était foutue, plus aucun hôpital ne m’accepterait. Mon client semblait aussi énervé que moi, voire plus même ce qui s’annonçait mal. « Je te préviens, si tu m’apportes pas tout ce qu’il me faut ce soir, je vais me fournir ailleurs. » Et sans cet argent, fini les dons de je ne sais combien à l’hôpital, fini ces sourire radieux que les enfants pouvaient m’offrir quand je leur apportais cadeaux en tout genre. J’avais besoin de cet argent. Je devais continuer cela en toute discrétion. Derrière cette bouille d’ange dont je me serre à longueur de temps, ce cœur de pierre que personne n’arrive à traverser se trouve quelqu’un de bien je vous jure. J’adore sauver des vies, je suis faite pour ça je le sais et, je serrais prête à tout pour mes patients bien qu’une barrière est toujours passée entre eux et moi pour éviter de… De souffrir tout simplement.




« I need to tell you something and i need you to not panic. »

Des fois, un chirurgien peut se laisser dépasser par les événements, il peut en oublier son humanité, son cœur et se laisser entrainer dans des guerres pas possible. La compétition est sans doute quelque chose de très importante pour moi. La seconde, étant donné que la première est de sauver des vies. Courant dans les couloirs pour me trouver à quelques centimètres de Nickolaï, résident également, je fus on ne peut plus sérieuse dans mes paroles. « Elle est pour moi ! » On se battait toujours pour avoir les interventions ou du moins, pour en avoir une aussi importante que celle qui se préparait. Une tumeur au cœur, c’était quelque chose d’horreur pour le patient mais, quelque chose de géniale pour nous et c’est dans des cas comme celui-ci qu’on voit que je n’ai pas vraiment de sentiments. Je m’en rends compte, j’essaye de soigner cela or, c’est plus facile à dire qu’à faire. Accélérant le pas pour arriver avant lui dans la chambre de la patiente, j’écoutais d’une oreille ce qu’il avait à rétorquer suite à mes attaques. « Alors là tu peux toujours rêver ! » Ce n’était pas la première fois qu’on se battait, c’était même quotidiennement parce qu’au fond, on était un peu pareil. En fait, je l’ai toujours apprécié bien que je montre le contraire pour me protéger. C’est le seul résident que j’arrive à respecter et ce n’est pas parce qu’il me fait peur, loin de là, juste parce que s’il n’était pas là, je m’ennuierais énormément. Pour une question de fierté, je ne disais rien mais, je ressens des drôles de trucs pour lui, des trucs que je n’ai jamais éprouvé pour personne. C’est dingue cette histoire quand même ! « Je suis la plus mignonne. » Surenchirissais-je derrière accompagné d’un sourire arrogant alors que l’on montait dans l’ascenseur. Si j’avais su, j’aurais pris les escaliers, ça aurait été beaucoup plus vite et je l’aurais peut-être eu à moi seule cette foutue intervention. « Et moi je possède un truc que t’as pas ! » Précisa-t-il alors que j’avais oublié ce tout petit détail. Que je sois meilleure que lui ou non, il avait raison. C’était UNE titulaire. Une titulaire qu’il avait dû se faire la veille si ce n’est dans la matinée juste pour arriver à ses fins. Ça, ce n’était pas juste, ce n’était pas ma faute si elle était hétéro et que je l’étais également… Jouer la dessus, c’était vraiment injuste. L’ascenseur finit par arriver à destination alors que je restais ébahie devant son sourire superficiel qu’il arborait. Je me mis alors à hausser le ton tout en le suivant de très près jusqu’à la chambre. « Déconne pas Niko, t’as pas le droit de jouer là-dessus ! » Mais est-ce qu’il allait se gêner ? Non, absolument pas, je l’aurais fait à sa place. Le rouge avait dû me monter au visage depuis notre entrée dans la chambre. Je m’emparais du dossier alors qu’il me chuchotait d’un ton provocateur : « Tous les moyens sont bons pour gagner ma belle. » La suite de l’histoire ? Un duo. Aucun de nous n’avait gagné puisque nous avions dû travailler ensemble mais, ce qui comptait maintenant, c’était la vengeance. Je ne sais pas si les choses vont changer un jour ou l’autre, si cette guerre va cesser mais, je ne souhaite pas. Cela augmente ma motivation et puis, c’est plutôt marrant.

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FELINE ◮ Pour être le meilleur, il faut battre le meilleur.

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